Elle
m’a regardée, stupéfaite, et m’a reposé la question.
– Non,
mais comment tu le sais ?
– Sur
pratiquement toutes les vidéos que tu m’envoies, les nanas
s’exposent généreusement, pendant la fessée, dans toute leur
vérité. Il y a une chance sur mille, avoue, pour que ce soit
imputable au seul hasard.
– Je
le fais pas exprès.
– Raison
de plus !
Elle
a légèrement rougi.
– Je
peux te poser une question, Andrea ?
– Bien
sûr… Vas-y !
– T’en
as déjà reçu ?
Elle
s’est agitée sur le canapé, a croisé, décroisé, recroisé les
jambes.
– C’est-à-dire…
Oui… Enfin, non… Toute seule, mais je sais pas si ça compte pour
de bon.
– C’est
pas vraiment la même chose.
– Non,
c’est pas vraiment la même chose. Parce que, même si on se dit
qu’on va se taper fort, on le fait pas autant que si c’était
quelqu’un d’autre. Et puis on peut pas avoir honte pareil.
– Ça
te dirait ?
Elle
a soutenu mon regard.
– Hein ?
Ça te dirait ?
– Maintenant ?
– Et
pourquoi pas ?
– Oui,
mais alors, faut que je te demande… Si je te dis d’arrêter, tu
le fais pas, hein ! Ni si je te dis de taper moins fort.
D’accord ?
– Lève-toi,
Andrea !
Elle
l’a fait, ses yeux dans les miens. J’ai rassemblé ses deux
poignets dans ma main et je l’ai doucement, tout doucement, attirée
vers moi.
– T’es
venue pour ça, hein ?
– Non.
Si ! Quand même un peu.
– Un
peu beaucoup, oui. Dis-le !
– Je
suis venue pour ça.
– Pour
quoi ?
– Pour
que tu me donnes la fessée.
– Une
fessée comment ?
– Cul
nu.
– Cul
nu, oui.
J’ai
glissé mes mains sous la robe, me suis emparée des rebords de la
culotte que j’ai lentement descendue, accompagnée jusqu’en bas.
Elle en est sortie, un pied après l’autre.
– Penche-toi !
Elle
a basculé en travers de mes genoux. Je l’y ai confortablement
installée. J’ai relevé la robe. Très haut. Au-dessus des reins.
– Mais
c’est que t’as un cul de rêve ! Il y manque juste un peu de
couleur, mais ça, on va y remédier. Et sur-le-champ.
J’ai
lancé une première claque. Sèche. Appuyée.
– Aïe !
Hou, la vache !
Elle
s’est crispée dans l’attente de la seconde. Que je l’ai
interminablement fait attendre. Que j’ai brusquement abattue. Une
troisième. Une quatrième. En pluie. En grêle. En rafales. En
tornade hurlante et mugissante.
Oh !
RépondreSupprimerOuille!
RépondreSupprimerVraiment sympa,vivement la suite
RépondreSupprimerIl y a encore beaucoup de suites de prévues ;)
RépondreSupprimerLa chasseuse sachant chasser chasse sans son chien xD
RépondreSupprimerChapitre délicieux et en meme temps instructif.
c'est parti! Il ne va plus y avoir qu'à laisser se dérouler l'écheveau.
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